viernes, 7 de septiembre de 2012

Aprentissage

Je suis presque deux semaines a la cité, oui, cette-là etàient ma première ou je donne classe a Paris. J'habit une location vide à une mansarde a le vingtième rondissement, bon marché puis il n'a pas d'ascenseur. Vingt ans, de l'espagne. Je joue le piano et a peu d'autres instruments. Il pourrait etre ma presentation avec les inconnus, oui, mais quoi de plus?

J'ai appris la langue pendant moitié eté en lisant Le petit prince premier, et Proust depuis. Il y avait des jours óu j'ai appris "par coeur", comme on dis, des orations elongés que ce dernière construit a son oeuvre. Morceaux du quatre ou cinq phrases que j'aime par ce qu'ils disent oú comme sont ecríts. J'appris la langue aussi pendant le vol, meme a Paris, a ma chambre... bien, à ma chambre tout ce que j'ai practiqué est l'ecouter. J'ai essayé difficilment m'apprendre à ecouter, mais c'est presque impossible. Aprés mon arrivé j'avais parlé avec functionaires du l'aéroport, le metro, le propietaire du maison,et je me fut honteux, les faire me répéter quelque chose, de les demander de me parler plus lentement., ou "non si vite". A les classe je n'entends presque rien de ce que le professeurs disent, c'est comme... quand j'entend le premier mot, quand je suis assuré de cela, le train a passé dejà, l'oration se m'echappe. Oui, j'entend quelque chose, mais il ne suffit.

Cependant, tout ne fut, ne pensez-vous, être ici dans ma chambre. Bien, en verité je ne suis pas sorti, comme celui qui dit sorti, beaucoup. Je m'ai promené par presque la moitié des arrondissements de París, desquels je connais dejà l'air, mais si je fusse demandait par une opinion, quelques mots, je ne saurais dir peu plus que "très joli", o "magique". J'ai vu les bars et restaurants, d'air reconaissable puis je les avais vu au cinema. Il me parut que quelque parisien, en lisant son journal avec son café et par son grand chien blanc, fut héritier de ces ardants reunions artistiques il y a un siècle dejà, aux mêmes lieus.

J'ai passé ainsi le temps, les jours marqués par les couchers du soleil. Je ne pouvais les voir directement mais en usant la clef que le propiètaire m'avait donné pour la terrasse, chose que j'ai fait la moitié des occasions. Un jour, je m'y repetàit celà, en voix haute:  "depuis de...jusqu'a", parce qu'il fut une expression je l'avais lit à une histoire que j'ai lisait et ecouté. Je me passait presque un jour en la ecoutant, et quand je pensait en quelle autre chose avait j'appris ce jour, je ne savais quoi. Cela me laissait vaincu, et je simplement suis allé dormir.


L'université est un lieu marveilleuse, avec resonnances du passé. Les couleurs de l'université sont enormes, auxquels les etúdants causèrent, plus animés peut-etre, pour l'arrivé de le vendredi. J'avais essayé de parler avec quelqu'uns en demandant s'ils jouait quleque insturment o connasait quiconque; trois personnes m'ont dit que non. Ce fut autre jours. Le quatrième, un garçon que n'allait pas a ma classe et que j'ai pregunté ce vendredi là, disait avec naturalité: "Moi meme".

Nous avons parlé pour un moment, son nom fut Roland, et il m'expliqua qu'il ne cherchait jouer avec autres personnes, mais que nous pouvions le jouer un peu depuis. J'ai accepté et nous sommes allé à un des pianos qu'il y avait à la rue. Il me guia, les deux somme crussés sur un pont qui nous poursuivit ce vistes delicieux de la tour eiffel, des battiments rangées en differents hautures... J'etais a la recherche d'un de ces pianos, puis ce que j'avais acheté a l'internet n'a pas arrivé encore. Le piano avait l'air cassé. Il me demandait que je jouasse quelque chosse. Mais j'avais peur de ne me souvenir pas, precissement par n'avoir jouait pendant un moix. Je souvanais une morceau d'une pièce qui fut interessante, je croyais, mais ça m'eut semblé que ce ne fut suffisante par le mostrer encore.
 Puis il s'assit, et jouat une pièce magnifique, brillant, touchant, elidint des repètitions mais jouant-là toute entière, sans aucun erreur. "Ça ne devrait etre permis jouer Chopin comme ça", comme j'avais lu à "A la recherche", en disant-il avec un air casual. Il ria. Je me demmandais s'il l'avait lu, peut etre par le simple fait d'etre parisien. Ja pensais autant quelle chose povais-je dir d'ingenieuse, o de proustian, encore, mais je ne savait pas.

- Avez-vous allait conservatoire? - je l'avais dit.
- Mais oui. - Il repondu. Quelle plaisanterie, "mais oui"! Je l'avais lu, l'expression, mais je ne le souvanais. Puis il disait - Ecoute, voulez-vous venir ma maison, cette nuit? Il y aura de mes amis, tu peux les gouter.

Comment pouvait-il dir quelque chose, les gouter! si je n'avais parlat avec lui qu'un moment. Tout de coup, mon coeur battait intesment en songeant la situation; je ne pouvais avec çalà, ce fut trop tot. Mais... qu'allais-je faire, sinon? J'ai accepté son invitation.

- Est-vous venant a manger a l'université avant la classe de les trois? - disait-il, entre mon songeament.
- Non, j'ai de...de me recontrer avec quelqu'un. - j'ai dit, sans penser qu'il ne fut même pas a ma classe.
- C'est bien.
- Au revoir.

Ce ne fut pas verité, j'avais obviement d'essayer avec intensité. Je m'ai fermu a ma chambre avec l'ordinateur, quattre o cinc heures. J'ecoutais histoires et pages derangées. Je fut trés nerveux, puis j'entendais quelques phrases, oui, mais il ne suffit.  D'autraires, j'avais ecouté le même narrateur en trop de grabations differents, et ce fut méchant puisque je m'etáit habitué a sa voix. Donc, je fus ecoutant un peu de Maupassant, quand j'ai tombé dormít.

J'ai eu un reve, où je bevais aune bière avec le narrateur a un bar desolé. Il n'y avait personne hors lui. Il fut un homme vieux, d'air sage a sa facette, mais inexpressif. Je savais qu'il fut le narrateur même quand nous ne commençait pas a parler. Puis, nous avon parlé sans ouvrir la bouche. Qu'est-ce que nous parlait? Je ne me souvenait quand je me reveillit. Tout de coup, je fut effrayé d'avoir surpassé l'heure de le rendez-vous. Mais le soleil ne s'avait pas couchée, heureusement. Il restait trois heures encore.


Je suis allé le cementière Sant-Pere en intentant ne pas m'estresser. Je n'ai descubrit beacoup autours mon dernière venu. Partitures sur la tomb de Chopin, alcohol sur Jim Morrison-là. Et les besées avec Oscar Wilde. Toute sa extension poublée d'arbres resemblait un bois triste et calmée, cependant les gens promenaient avec ses cameras et maps de main. Pendant la promenade, je pensais autant qui pouvais-je dir, quelle sujet pouvais les rendre, mais seulement venait a mon esprit des mots autant la musique or le piano. Et combien d'ils en furient? Deux, trois? Plus? Mon dieu, plus. Je me verrait aussi debout tout seule. Et j'avais lis aussi que les jeune jouen avec les mots, en alterant l'ordre de les lettres en quelques mots, ou inventant de nouveaux. En decouvrint moi-meme en ce etat, je suis essayé de me distraire a retrouver la tomb de Proust en usant les maps.

Son tombe fut tràs simple, une pierre noir, rectangulier, et horizontal. Je n'ai lisait Proust des que j'avais commençait "ecoutant" a moyan eté. Des orations elengées, ah. Je pouvais les liser jouant avec les subordinades comme un enfant. Il furent terriblement hardies, mais.. j'avais tout le temps du monde pour les recolecter, pour les rebaittir, pour les entendre. Est-ce que je pensais qu'il me pouvait aider, me donner des orations, des resources? Avait-il fait jamais? J'avais, tout de coup, faché avec je ne sais quoi.


La nuit tombait, et les champagnes sonaient et les guardes avisais que le cementière allait fermer. En effet, arribé l'heure nuit, en marchant par la cité jusqu'a l'heure que je "fut acte de presènce", com il disait pour m'inviter, je me ressentais accablé par cette sort de clique en laquelle je me suffit de mettre. Enfin nous nous trouvons a son salle a manger... touts en circle. Deux garçons et deux femmes m'ont saluté de façons differents, mais je les avait entendu toutes.
 
Roland fut a la cuisine mais il ne restait trop a venir. Nous bevions vine rouge et bière, et personne ne fumait pas, mais je ne savait s'il fut puisque aucun d'eux ne fumait pas. Ils faisaient des questions simples mais que m'invitaven a parler en m'extendant moi-meme comme tout ce que je pouvais.

Quand ils avait su que je l'aimait aussi, ils commençaren a causer autors romans. Nous commençais parler, tout allait surprenantment bien, hors... cette femme. Une d'eux, ce qui avait les cheveux noirs par les epaules, et couchant ses sourcils, presque ses yeux. Elle s'etait assis ou repandu comme un chat, prenant ses jambes a son cotêe. Quand elle parlait avec quelqu'un, elle le faisait toujours baissant ses yeux mais sans avoir l'air d'etre submissive, or indiffèrente. Elle parlait douce et lentement, avec une delicieuse musicalité, mais... je n'entendit rien, rien, un seule mot! Quelle crouauté! J'avais de me fixer en ses manières pour essayer de l'entendre meilleur. J'ai observé que quand elle sourit, elle faisait ce gest acouté a sa bouche, avaient l'air presque ironique.

Lors, par allés et retours de la conversation, ils m'ont demandait que je disait un de ces morceux proustians que je connais. Je me fut hardie avec un, et l'ai recité, sans m'echapper de rèpèter et de retourner:

"Pour faire partie du “petit noyau”, du “petit groupe”, du “petit clan” des Verdurin, une condition était suffisante mais elle était nécessaire : il fallait adhérer tacitement à un Credo dont un des articles était que le jeune pianiste, protégé par Mme Verdurin cette année-là et dont elle disait : “ Ça ne devrait pas être permis de savoir jouer Wagner comme ça ! ”, “enfonçait” à la fois Planté et Rubinstein et que le docteur Cottard avait plus de diagnostic que Potain. Toute “nouvelle recrue” à qui les Verdurin ne pouvaient pas persuader que les soirées des gens qui n'allaient pas chez eux étaient ennuyeuses comme la pluie, se voyait immédiatement exclue."

- A peu rechargeant, n'est-il? - disait un des amis.
- Mais non, je ne le pense pas. - j'ai contesté, mais je ne savait quoi dire. Ce fut un silence etrange.

Alors, elle començait a parler avec un gran naturalité. Je n'entendais point quelque chose qu'elle disait, mais elle etait sans doute contestant a l'ami de Roland. Touts etaient ecoutant attentivement. Aprés le silence qui laissait son elongée intervention, j'ai pensé a dire:

- Bien, je pense...qu'il a une façon de jouer avec ce qu'il dis d'abord et au fin. Comme ironique.
Elle me regardait, et lors elle ri d'une façon que je ne l'avais vu.

Sans doute, ne l'entendre pas tombait mon excitement initielle. Mais d'entre le malheur qui m'avait tombé avant, que je ressentais differente, il y avait un certain plaisir a l'indobteuse, a ce aprentissage, puis j'ait commençe a entendre des mots et les relationes entre eux. Nous six avons parlé pendant un couple d'heures. Il me parut quelquefois qu'elle m'observait de forme profonde, misterieuse, silencieuse, mais je ne me suis atrevit a la regarder directment.

Ils s'ont allé et je restait un peu parlent avec Roland a sa cuisine. Il me demandà si la nuit fout bien, ja l'ai eu d'accepter que oui.

- Elle etudes Històrie du Art, et elle est aussi nouvelle que vous ici.
- Est-elle d'autre paix? - je le demmandais.
- Oh, non, elle est du Poitiers. La moitié France!
- Oh.

Je detèste mes "Oh", ridicule demostration de mon nulle converse. Aprés un moment de silence, il me demandait si "allait-je agir", en souriant. Je le pregunté sur quoi, et il repundú "sur elle". "Je ne sais pas..."
Et cela fut la nuit.


De même que nous nous souvenons de nos amis para songeant ses mes habituelles manières (comme la moyen de rire, o ) je me surpris en souvenant exactament sa voix, l'inclination de son dos...beaucoup plus que la reste du gens que j'avais connu. Cette-là fut la premiere fois que j'avais eprouvé cette sensation d'impregnation, de souvenir desintentioné, depuis mon arrivé a París. Je l'ai vu hier, à une rue, en marchant un peu plus devant que moi. Elle faisait l'air trist, malheureuse. "Est-ce que vous arrivé quelque maheur?" Cette phrase est estupide, ne me serve pas. Non, elle ne fut pas triste, mais pensative. Je ne sais pas. Encore qu'elle en effet l'en fut, ce fut une phrase complètement stupide.

 Dieu, je veux bien la beser.



 Bleeding Hearted Blues - James P. Johnson

2 comentarios:

  1. Un traaductoooooor si vous plait

    ResponderEliminar
  2. acabo de dar contigo por pura casualidad y con este texto (del que no entiendo nada, pero voy a leer igualmente) con más casualidad aún y joder, qué ilusión me ha hecho.
    espero que te esté yendo todo muy bien y me alegro mucho mucho mucho de leerte de nuevo.

    ResponderEliminar