Je
suis presque deux semaines a la cité, oui, cette-là etàient ma première
ou je donne classe a Paris. J'habit une location vide à une mansarde a
le vingtième rondissement, bon marché puis il n'a pas d'ascenseur. Vingt
ans, de l'espagne. Je joue le piano et a peu d'autres instruments. Il
pourrait etre ma presentation avec les inconnus, oui, mais quoi de plus?
J'ai
appris la langue pendant moitié eté en lisant Le petit prince premier,
et Proust depuis. Il y avait des jours óu j'ai appris "par coeur", comme
on dis, des orations elongés que ce dernière construit a son oeuvre.
Morceaux du quatre ou cinq phrases que j'aime par ce qu'ils disent oú
comme sont ecríts. J'appris la langue aussi pendant le vol, meme a
Paris, a ma chambre... bien, à ma chambre tout ce que j'ai practiqué est
l'ecouter. J'ai essayé difficilment m'apprendre à ecouter, mais c'est
presque impossible. Aprés mon arrivé j'avais parlé avec functionaires du
l'aéroport, le metro, le propietaire du maison,et je me fut honteux,
les faire me répéter quelque chose, de les demander de me parler plus
lentement., ou "non si vite". A les classe je n'entends presque rien de
ce que le professeurs disent, c'est comme... quand j'entend le premier
mot, quand je suis assuré de cela, le train a passé dejà, l'oration se
m'echappe. Oui, j'entend quelque chose, mais il ne suffit.
Cependant,
tout ne fut, ne pensez-vous, être ici dans ma chambre. Bien, en verité
je ne suis pas sorti, comme celui qui dit sorti, beaucoup. Je m'ai
promené par presque la moitié des arrondissements de París, desquels je
connais dejà l'air, mais si je fusse demandait par une opinion, quelques
mots, je ne saurais dir peu plus que "très joli", o "magique". J'ai vu
les bars et restaurants, d'air reconaissable puis je les avais vu au
cinema. Il me parut que quelque parisien, en lisant son journal avec son
café et par son grand chien blanc, fut héritier de ces ardants reunions
artistiques il y a un siècle dejà, aux mêmes lieus.
J'ai
passé ainsi le temps, les jours marqués par les couchers du soleil. Je
ne pouvais les voir directement mais en usant la clef que le propiètaire
m'avait donné pour la terrasse, chose que j'ai fait la moitié des
occasions. Un jour, je m'y repetàit celà, en voix haute: "depuis
de...jusqu'a", parce qu'il fut une expression je l'avais lit à une
histoire que j'ai lisait et ecouté. Je me passait presque un jour en la
ecoutant, et quand je pensait en quelle autre chose avait j'appris ce
jour, je ne savais quoi. Cela me laissait vaincu, et je simplement suis
allé dormir.
L'université
est un lieu marveilleuse, avec resonnances du passé. Les couleurs de
l'université sont enormes, auxquels les etúdants causèrent, plus animés
peut-etre, pour l'arrivé de le vendredi. J'avais essayé de parler avec
quelqu'uns en demandant s'ils jouait quleque insturment o connasait
quiconque; trois personnes m'ont dit que non. Ce fut autre jours. Le
quatrième, un garçon que n'allait pas a ma classe et que j'ai pregunté
ce vendredi là, disait avec naturalité: "Moi meme".
Nous
avons parlé pour un moment, son nom fut Roland, et il m'expliqua qu'il
ne cherchait jouer avec autres personnes, mais que nous pouvions le
jouer un peu depuis. J'ai accepté et nous sommes allé à un des pianos
qu'il y avait à la rue. Il me guia, les deux somme crussés sur un pont
qui nous
poursuivit ce vistes delicieux de la tour eiffel, des battiments rangées
en differents hautures... J'etais a la recherche d'un de ces pianos,
puis ce que j'avais acheté a l'internet n'a pas arrivé encore. Le piano
avait l'air cassé. Il me demandait que je jouasse quelque chosse. Mais
j'avais peur de ne me souvenir pas, precissement par n'avoir jouait
pendant un moix. Je souvanais une morceau d'une pièce qui fut
interessante, je croyais, mais ça m'eut semblé que ce ne fut suffisante
par le mostrer encore.
Puis il s'assit, et jouat une pièce
magnifique, brillant, touchant, elidint des repètitions mais jouant-là
toute entière, sans aucun erreur. "Ça ne devrait etre permis jouer
Chopin comme ça", comme j'avais lu à "A la recherche", en disant-il avec
un air casual. Il ria. Je me demmandais s'il l'avait lu, peut etre par
le simple fait d'etre parisien. Ja pensais autant quelle chose povais-je
dir d'ingenieuse, o de proustian, encore, mais je ne savait pas.
- Avez-vous allait conservatoire? - je l'avais dit.
-
Mais oui. - Il repondu. Quelle plaisanterie, "mais oui"! Je l'avais lu,
l'expression, mais je ne le souvanais. Puis il disait - Ecoute,
voulez-vous venir ma maison, cette nuit? Il y aura de mes amis, tu peux
les gouter.
Comment pouvait-il dir quelque chose, les
gouter! si je n'avais parlat avec lui qu'un moment. Tout de coup, mon
coeur battait intesment en songeant la situation; je ne pouvais avec
çalà, ce fut trop tot. Mais... qu'allais-je faire, sinon? J'ai accepté
son invitation.
- Est-vous venant a manger a l'université avant la classe de les trois? - disait-il, entre mon songeament.
- Non, j'ai de...de me recontrer avec quelqu'un. - j'ai dit, sans penser qu'il ne fut même pas a ma classe.
- C'est bien.
- Au revoir.
Ce
ne fut pas verité, j'avais obviement d'essayer avec intensité. Je m'ai
fermu a ma chambre avec l'ordinateur,
quattre o cinc heures. J'ecoutais histoires et pages derangées. Je fut
trés nerveux, puis j'entendais quelques phrases, oui, mais il ne
suffit. D'autraires, j'avais ecouté le même narrateur en trop de
grabations differents, et ce fut méchant puisque je m'etáit habitué a sa
voix. Donc, je fus ecoutant un peu de Maupassant, quand j'ai tombé
dormít.
J'ai eu un reve, où je bevais aune bière avec
le narrateur a un bar desolé. Il n'y avait personne hors lui. Il fut un
homme vieux, d'air sage a sa facette, mais inexpressif. Je savais qu'il
fut le narrateur même quand nous ne commençait pas a parler. Puis, nous
avon parlé sans ouvrir la bouche. Qu'est-ce que nous parlait? Je ne me
souvenait quand je me reveillit. Tout de coup, je fut effrayé d'avoir
surpassé l'heure de le rendez-vous. Mais le soleil ne s'avait pas
couchée, heureusement. Il restait trois heures encore.
Je
suis allé le cementière Sant-Pere en intentant ne pas m'estresser. Je
n'ai descubrit beacoup autours mon dernière venu. Partitures sur la
tomb de Chopin, alcohol sur Jim Morrison-là. Et les besées avec Oscar
Wilde. Toute sa extension poublée d'arbres resemblait un bois triste et
calmée, cependant les gens promenaient avec ses cameras et maps de main.
Pendant la promenade, je pensais autant qui pouvais-je dir, quelle
sujet pouvais les rendre, mais seulement venait a mon esprit des mots
autant la musique or le
piano. Et combien d'ils en furient? Deux, trois? Plus? Mon dieu, plus.
Je me verrait aussi debout tout seule. Et j'avais lis aussi que les
jeune jouen avec les mots, en
alterant l'ordre de les lettres en quelques mots, ou inventant de
nouveaux. En decouvrint moi-meme en ce etat, je suis essayé de me
distraire a retrouver la tomb de Proust en usant les maps.
Son
tombe fut tràs simple, une pierre noir, rectangulier, et horizontal. Je
n'ai lisait Proust des que j'avais commençait "ecoutant" a
moyan eté. Des orations elengées, ah. Je pouvais les liser jouant
avec les subordinades comme un enfant. Il furent terriblement hardies,
mais.. j'avais tout le temps du
monde pour les recolecter, pour les rebaittir, pour les entendre. Est-ce
que je pensais qu'il me pouvait aider, me donner des orations, des
resources? Avait-il fait jamais? J'avais, tout de coup, faché avec je ne
sais quoi.
La nuit tombait, et les
champagnes sonaient et les guardes avisais que le cementière allait
fermer. En
effet, arribé l'heure nuit, en marchant par la cité jusqu'a l'heure que
je
"fut acte de presènce", com il disait pour m'inviter, je me ressentais
accablé par cette sort de clique en laquelle je me suffit de
mettre. Enfin nous nous trouvons a son salle a manger... touts en
circle. Deux garçons et deux femmes m'ont saluté de façons differents,
mais je les avait entendu toutes.
Roland fut a
la cuisine mais il ne restait trop a venir. Nous bevions vine rouge et
bière, et personne ne fumait pas, mais je ne savait s'il fut puisque
aucun d'eux ne fumait pas. Ils faisaient des questions simples mais que
m'invitaven a parler en m'extendant moi-meme comme tout ce que je
pouvais.
Quand ils avait su que je l'aimait
aussi, ils commençaren a causer autors romans. Nous commençais parler,
tout allait surprenantment bien, hors... cette femme. Une d'eux, ce qui
avait les cheveux noirs par les epaules, et couchant ses sourcils,
presque ses yeux. Elle s'etait assis ou repandu comme un chat, prenant
ses jambes a son cotêe. Quand elle parlait avec quelqu'un, elle le
faisait toujours baissant ses yeux mais sans avoir l'air d'etre
submissive, or indiffèrente. Elle parlait douce et lentement, avec une
delicieuse musicalité, mais... je n'entendit rien, rien, un seule mot!
Quelle crouauté! J'avais de me fixer en ses manières pour essayer de
l'entendre meilleur. J'ai observé que quand elle sourit, elle faisait ce
gest acouté a sa bouche, avaient l'air presque ironique.
Lors,
par allés et retours de la conversation, ils m'ont demandait que je
disait un de ces morceux proustians que je connais. Je me fut hardie
avec un, et l'ai recité, sans m'echapper de rèpèter et de retourner:
"Pour faire partie du “petit noyau”, du “petit groupe”, du
“petit clan” des Verdurin, une condition était suffisante mais elle était
nécessaire : il fallait adhérer tacitement à un Credo dont un des articles
était que le jeune pianiste, protégé par Mme Verdurin cette année-là et dont
elle disait : “ Ça ne devrait pas être permis de savoir jouer Wagner comme ça !
”, “enfonçait” à la fois Planté et Rubinstein et que le docteur Cottard avait
plus de diagnostic que Potain. Toute “nouvelle recrue” à qui les Verdurin ne
pouvaient pas persuader que les soirées des gens qui n'allaient pas chez eux
étaient ennuyeuses comme la pluie, se voyait immédiatement exclue."
- A peu rechargeant, n'est-il? - disait un des amis.
- Mais non, je ne le pense pas. - j'ai contesté, mais je ne savait quoi dire. Ce fut un silence etrange.
Alors,
elle començait a parler avec un gran naturalité. Je n'entendais point
quelque chose qu'elle disait, mais elle etait sans doute contestant a
l'ami de Roland. Touts etaient ecoutant attentivement. Aprés le silence
qui laissait son elongée intervention, j'ai pensé a dire:
- Bien, je pense...qu'il a une façon de jouer avec ce qu'il dis d'abord et au fin. Comme ironique.
Elle me regardait, et lors elle ri d'une façon que je ne l'avais vu.
Sans
doute, ne l'entendre pas tombait mon excitement initielle. Mais d'entre
le malheur qui m'avait tombé avant, que je ressentais differente, il y
avait un certain plaisir a l'indobteuse, a ce aprentissage, puis j'ait
commençe a entendre des mots et les relationes entre eux. Nous six avons
parlé pendant un couple d'heures. Il
me parut quelquefois qu'elle m'observait de forme profonde,
misterieuse,
silencieuse, mais je ne me suis atrevit a la regarder
directment.
Ils s'ont allé et je restait un peu parlent
avec Roland a sa cuisine. Il me demandà si la nuit fout bien, ja l'ai eu
d'accepter que oui.
- Elle etudes Històrie du Art, et elle est aussi nouvelle que vous ici.
- Est-elle d'autre paix? - je le demmandais.
- Oh, non, elle est du Poitiers. La moitié France!
- Oh.
Je
detèste mes "Oh", ridicule demostration de mon nulle converse. Aprés un
moment de silence, il me demandait si "allait-je agir", en souriant. Je
le pregunté sur quoi, et il repundú "sur elle". "Je ne sais pas..."
Et cela fut la nuit.
De
même que nous nous souvenons de nos amis para songeant ses
mes habituelles manières (comme la moyen de rire, o ) je me surpris en
souvenant exactament sa voix, l'inclination de son dos...beaucoup plus
que la reste du gens que j'avais connu. Cette-là fut la premiere fois
que j'avais eprouvé cette sensation d'impregnation, de souvenir
desintentioné, depuis mon arrivé a París. Je l'ai vu hier, à une rue, en
marchant un peu plus devant que moi. Elle faisait l'air trist,
malheureuse. "Est-ce que vous arrivé quelque maheur?" Cette phrase est
estupide, ne me serve pas. Non, elle ne fut pas triste, mais pensative.
Je ne sais pas. Encore qu'elle en effet l'en fut, ce fut une phrase
complètement stupide.
Dieu, je veux bien la beser.
Bleeding Hearted Blues - James P. Johnson
viernes, 7 de septiembre de 2012
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Un traaductoooooor si vous plait
ResponderEliminaracabo de dar contigo por pura casualidad y con este texto (del que no entiendo nada, pero voy a leer igualmente) con más casualidad aún y joder, qué ilusión me ha hecho.
ResponderEliminarespero que te esté yendo todo muy bien y me alegro mucho mucho mucho de leerte de nuevo.